"Il y avait un jardin..."
Les cèdres du Liban
ont porté leur ombrage
sur l’éclat des prophètes
les figuiers jamais
autant de fruits
n'avaient donné
A travers les vignes,
ses pas rapides
Sous les sycomores
nos vies relevées
Le désert pourtant
au bout de tous ces jours
l'arbre sec
le silence
et la terre
Le sable a écouté le vent
soulever l'ombre et le temps
les oliviers en ont frémi
dans la soudaine clarté de la nuit
Doucement ils s’inclinent
au passage
Quelle merveille Isabelle !
RépondreSupprimerLes poètes boivent à la même sève que les arbres. L'oliveraie est magnifique !
Je t'embrasse
Martine
Louis m'avait dit ce matin que ton poème était beau...
RépondreSupprimerC'est tellement vrai. Tes mots sont magnifiques pour un samedi saint (et la photo aussi)
Continue d'écrire sous son Souffle !